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Mon histoire se passe alors que j’avais 24 ans. Chaque matin en me rendant au travail je longeais une longue
avenue bordée par la forêt au long de laquelle colle une piste cyclable. Depuis quelques jours un jeune étudiant asiatiques empreinte, cette piste pour se rendre à
l’université.
J’aime les asiatiques j’ai toujours été attiré par eux. Au bout d’une semaine ou deux, nos regards se sont croisés et nous nous faisons signe de la main lorsque nous nous
croisons. Qu’il pleuve ou qu’il fasse soleil, il est toujours en bermuda et je peux voir ces belles jambes imberbes.
Un matin n’y tenant plus j’ai ouvert mon pantalon et laissé à l’air mon sexe bien tendu tout en conduisant la voiture. Du haut de son vélo, il pouvait facilement voir à
l’intérieur de ma voiture. Comme chaque matin il y a des files souvent nous nous dépassions l’un l’autre, il semblait intéressé, je voyais qu’il se caressait l’entre jambes, ce
petits jeux a duré chaque matin. Un matin alors que nous étions, en route je le vois, qui s’arrête et qui descend de son vélo, je m’arrête quelque dizaine de mètres plus loin il
me rejoint en portant son vélo son pneu arrière étant crevé, il me dit qu’il doit impérativement arriver à l’heure à l’université car il à un expose à faire. Je lui dis pas de
problème je te dépose, nous mettons sont vélo dans ma voiture et nous nous mettons en route. C’était un enfant du Vietnam adopté alors qu’il n’avait que quelques semaines,
aujourd’hui il a 19 ans et ce prépare à devenir informaticien. Je lui propose de nous occuper de la réparation de son vélo plus tard et je promets de venir le reprendre à la fin
des cours. Sur le chemin du retour, nous nous sommes embrassés et nos mains ont parcouru le corps de
l’autre. Arrivé chez moi, je me suis changé et nous nous sommes attelés à la réparation de son vélo. Voyant qu’il y avait d’autres vélos dans mon garage il me demande si moi aussi
je suis cycliste je lui dis que oui que chaque samedi je vais faire un grand tour dans la forêt toute proche. Il était tard et il doit rentrer alors avant de nous quitter nous
nous sommes donné rendez-vous samedi pour faire ensemble une balade. Le restant de la semaine se passe comme à l’habitude, mais cette fois avec un sourire
complice.
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Le samedi matin nous voilà en route très vite nous quittons les chemins balisés pour nous enfoncer dans la forêt, je connais une
petite clairière cachée par de hautes herbes où souvent je vais m’allonger nu au soleil. Arrivé sur place nous nous arrêtons et sans rien dire nos lèvres se touchent, nos mains glissent
sous nos vêtements, dans mon sac à dos j’ai mis une couverture que nous étalons par terre à l’abri des regards indiscrets.
Je fais glisser son bermuda et je découvre enfin son corps il est magnifique, un sexe 17 cm que je couvre de mes lèvres. Nous
sommes maintenant tous les deux nus comme des vers et nos bouches parcourent chaque cm carré du corps de l’autre, ce simple contact de nos corps a produisit une telle excitation que nous
avons éjaculés tous les deux ensemble, nos corps étaient couverts de sperme. Nous nous sommes léchés l’un l’autre pour nous nettoyer. Mais, cela nous redonna de la vigueur, de nouveau nos
sexes étaient tendus et durs. Je me suis assis sur son ventre les jambes de part et d’autre de son corps, tout doucement je me suis assis, j’ai légèrement écarté mes fesses, son sexe est
entré en moi, je sentais cette douce chaleur entrer en moi en même tant j’avais mal c’était la première foi. Au bout d'un moment, alors que je n’avais plus mal j’ai commencé à faire
quelques mouvements de va-et-vient en me soulevant légèrement, son sexe glissait entre mes fesses, un réel plaisir je n’en pouvais plus la transpiration me venait, j’étais aux anges. J’ai
accéléré le mouvement, tout son corps c’est tendu, et j’ai reçu un jet puissant et chaud dans le fond de mon corps. Je me suis laissé tomber à côté de lui coucher sur le dos, sa bouche
est descendue sur mon sexe encore tout dur, tout doucement il faisait des vas et vient tout en caressant mon entrejambes, j’ai lâché une giclée dans sa bouche, je croyais que cela ne
s’arrêterait jamais. Nous nous sommes souvent revus cachés dans les hautes herbes nous nous sommes aimé, aujourd’hui nous vivons ensemble et souvent nous retournons nous promener aux
bois.
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