Tout c’est passé un beau mercredi de juin. Comme tous les mercredis, j’étais sur le terrain de rugby de la petite équipe de mon village. Perturbé par le demi de mêlé de l’équipe adverse, je n’ai pas très bien joué. C’est pour cette raison que Etienne un garçon sympa qui nous fait office d’entraîneur m’a fait sortir. Un dernier petit regard vers le rempart de l’autre équipe et je suis rentré au vestiaire.
J’étais seul dans le vestiaire et j’allais pouvoir prendre ma douche tranquillement j’étais moite j’avais eu bien chaud . Je me suis donc foutu a poil : godasses, maillot, short, chaussettes … j’en était au caleçon. L’esprit toujours rempli par l’image du beau apollon de l’équipe adverse que je n’ai jamais connu, je sentais bien la petite bosse qui déformait mon slip.
Ca m’était déjà arrivé une fois auparavant dans le vestiaire. Mais entouré par mes coéquipiers, un peu honteux, j’avais attendu que ça se calme pour me mettre nu. Mais là, j’étais seul dans le vestiaire. Je décidai donc le laisser tomber mon slip, essayant de penser à un autre sujet pour éviter une plus grande érection.
Je pénétrai dans les douches et commençait a faire couler l’eau. Le jet, puissant m’aspergeait la nuque, cela me procurait beaucoup de plaisir. Je commençai à me nettoyer de bas en haut. Pendant que je me mettais du savon liquide sur le torse, je sentais que mon érection se faisait de plus en plus forte. Je baissai alors les yeux et observai, un peu perturbé, la lente montée de mon sexe rouge et gonflé. Lorsqu’il toucha mon nombril, je m’aperçu qu’il serait difficile de perdre cette érection digne du plus viril des étalon.
Après tout, à quoi bon s’enlever un plaisir : j’étais seul, tranquille sous ma douche. Je me retournai afin de placer ma verge sous le jet de la douche tiède. Je caressai alors lentement mes bourses gonflées de suc. La douche était bien chaude et cette chaleur m’excitait terriblement l’esprit et le gland. Je montai mes doigts et après la bonne quinzaine de centimètres de plaisir, j’atteignis mon gland. Il était dur, et sensible a chaque jet de douche qui tombait sur lui.J’entrepris alors une chose qui m’étonna : je satisferais bien cette érection. Une petite masturbation rapide m’aurait fait le plus grand bien. Etant donnée la situation, le lieu, la chaleur environnant, je crois que j’aurais pu régler très vite l’affaire. Je ne suis pas éjaculateur précoce mes amants vous le dirons mais quand je suis excité comme cela, je peux aller très vite et comme dans ses cas la il n’y a que moi a satisfaire.. pourquoi se perdre en vil attente. En plus, une chose très importante m’apportait encore plus de stimulation : j’entendais les gens crier à deux mètres de moi.
Ce sentiment de ne pas être seul est extraordinaire lors de la masturbation solitaire. La dernière fois que j’ai eu ce sentiment, c’était dans un centre hippique : voir autant de jolies minets sur des chevaux me faisait beaucoup d’effet. Mais prétextant une envi pressante j’avais été m’isolé dans les toilettes du centre hippique. Je n’avais pu résister et je m’étais lancé dans un raid solitaire. Ou plutôt : une raide solitaire. J’entendais les gens qui parlaient dans le couloir, à à peine dix centimètres de moi. J’avais vécu un formidable moment et j’avais éjaculé timidement mais avec vigueur pour ne pas repeindre les parois des chiottes.
Mais revenons dans le vestiaire du stade. Mes souvenirs furent interrompus par le grincement de la porte qui s’ouvrait : c’était un de mes coéquipiers Xav, également remplacé. Je plaçai immédiatement ma main et mon gant devant mon sexe. Il ne vit heureusement pas la dureté de celui-ci. A son tour, il se déshabilla. Lorsqu’il enleva son caleçon, le contraste me frappa : entre la grandeur de mon sexe au garde-à-vous et la petitesse de son sexe a peine formé. Il avait 18 ans, comme moi, mais son pénis mesurait maximum 5 centimètres. J’étais souvent attiré par les sexes des garçons qui se douchaient avec moi et je préférais les petits. Il entra à son tour dans la douche et alluma celle en face de la mienne. Il me dit quelques mots dont je ne me rappelle plus.
Lorsque je laissai tomber ma bouteille de shampoing, je m’abaissai pour la ramasser et senti mon gland effleurer mon ventre : une sensation très agréable. Tellement agréable que j’oubliai de remettre ma main pour cacher mon appendice préféré. Mon ami me regarda, gêné et ne sachant que dire. Il prononça juste ces deux mots : « belle bête !!!». Moi, honteux, je me contentai de détourner le regard. C’est à ce moment qu’il versa une goutte de shampoing dans ces cheveux et qu’il se les lava. Ses yeux fermés, il m’était plus simple d’observer son sexe. Et c’est alors que je le vis s’allonger et s’élever lentement. Il était certainement excité par la vue de mon sexe en érection. Toujours est-il qu’il ne s’en rendit pas tout de suite compte.
C’est seulement ses yeux dégagés et ouverts qu’il s’aperçut de la chose. « Ex æquo », lui dis-je en plaisanterie. Pour profiter de cette occasion, il me proposa une petite gâterie. Poliment, j’acceptais l’aubaine bien que je pensais encore a l’adversaire qui ne connaîtrait jamais mes caresses buccales, la situation était vraiment super excitante. Xav a quatre patte devant moi en train de me lécher la queue de belle façon. J’étais déjà super excité donc je n’ai pas vraiment profité de la pipe.. quelques secondes plus tard après avoir reculé la tête de Xav, j’aspergeait son visage de mon sperme a grosses giclés poisseuse.
Après nous être nettoyés je proposais a Xav un verre au troquet du stade pour le remercier de cette joyeuse et impromptu pipe.
Bernie (histoire d’un jeune mec)
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