Vendredi 19 septembre 5 19 /09 /Sep 22:01

QUE DIRE? il vous suffit de regarder cette tite vid pour comprendre le titre! regalez vous bande de petits veinards!!!


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Par GAYA
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Lundi 15 septembre 1 15 /09 /Sep 21:54

 

Par GAYA
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Dimanche 14 septembre 7 14 /09 /Sep 22:05

Bonne rentrée 2008 à tous!

 
Me voilà de retour je m'excuse! mais l'été a été mouvementé et je n'ai pas eu trop le temps de le mettre à jour ! (comme vous avez pu certainement le remarquer)
J'espère que pour vous tout c'est bien passé aussi, et que vous avez tes tas d'histoires à nous faire partager.
Alors? il était comment? ca c'est passé où? racontez-nous!
J'attends toujours de vos nouvelles n'hésitez pas a me faire parvenir une petite photo de votre "bite" afin que je puisse compléter ma collection! (voir la page: COCKS EN STOCK)
Sinon j'ai receuilli pleins de photos que je mettrai sous peu en ligne pour les partager. Pleins de photos de jeunes amateurs pour plein de plaisir!!!!
Bon tout ca pour dire, que je suis de retour et que je vous prépare pleins de surprises...

bisoux
Gaya

 

 

 

 

 


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Samedi 13 septembre 6 13 /09 /Sep 22:33

 

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Dimanche 20 juillet 7 20 /07 /Juil 15:28
O->

 

MZG 

 

Ma zone gay, un blog perso axé sur le visuel sans trop de blabla! oups! si un blog avec des histoires quand même! vos histoires!... et pleins de photos ramassées sur le net. des vidéos, des histoires coquines, des pages à thèmes... 

le blog de Gaya

ma zone gay

 

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Dimanche 20 juillet 7 20 /07 /Juil 15:04
 
 que pensez vous de ce petit montage photos!

 
 
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Samedi 19 juillet 6 19 /07 /Juil 22:00

 

 

visitez mes pages COCKS EN STOCK!
Un vrai stock de queues, un collection sur plusieurs pages pour le plaisir des yeux. Alors si vous aussi vous aimez regarder l'entre jambes d'un mec alors ces pages sont pour vous!!! n'attendez plus! Sur ma zone gay tout est gratos.

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Samedi 5 juillet 6 05 /07 /Juil 22:46


si tu veux partager toi aussi tes histoires coquines, fais moi suivre ton récit!!  clique ici

 je découvrais la bisexualité…
 

081.jpgIl me regarde. Je sens son regard au creux de mes reins. Je le vois nettement dans la glace de cette chambre d’hôtel. Il est assis. Il fume de longues cigarettes au bout doré en la tenant négligemment entre le pouce et le médium. Il envoie les volutes au plafond en levant la tête, puis son regard se repose sur moi.
Il n’a pas dit un mot depuis que nous nous sommes rencontrés ce soir
J’ai décidé que ma liaison avec Claire était terminée. Une fois de plus, elle avait fait l’amour – un bien grand mot – couchée sur le dos, les bras presque en croix, les yeux au plafond, les jambes écartées…
Pas un mot, à peine quelques soupirs retenus quand je l’ai caressée avec mes doigts dans son vagin. Je l’avais longuement caressée, embrassée ses seins dont la pointe s’était durcie. Mes yeux s’étaient longtemps portés sur ce triangle noir qu’elle a entre les jambes. Au fur et à mesure de mes baisers, ses poils s’étaient humidifiées et je sentais cette odeur très caractéristique de la cyprine qui coulait abondamment. Elle avait répondu à mes baisers, mais toujours sans bouger, comme esclave de l’homme qui allait la chevaucher. Je me suis couché sur elle, ma tête reposant à côté de la sienne. Mon souffle dans ses cheveux. Puis doucement, mon sexe avait été happée. C’était doux, chaud, humide et je n’ai connu aucune difficulté pour être en elle rapidement. J’ai senti son corps se soulever comme si elle voulait que je la pénètre toujours plus loin. Je suis resté en elle ainsi quelques instants. Mon souffle s’est accéléré. Mon torse sentait les battements de son cœur qui s’accélérait. Le plaisir était attendu, désiré, mais le corps ne réagissait pas. J’ai donné de petits coups de rein. Sa jambe droite est venue se poser sur mes fesses. Je la sentais mieux encore. J’ai passé alors ma main entre son pubis et mon ventre. J’ai senti mon sexe mouillé et j’ai caressé son clitoris. Son souffle s’est accéléré, son ventre se souleva à plusieurs reprises. Elle émettait de petits cris. J’ai marqué à nouveau une pause. Sa main gauche est venue me prendre la peau du dos, sauvagement, comme une invitation à poursuivre. Je la faisais languir, attendant d’elle qu’elle me parle, qu’elle me dise qu’elle m’aimait, qu’elle avait envie. Mais rien, toujours rien. Le jeu ne m’amusait091.jpg plus. Mon envie fut la plus forte. Je la lutinais avec force, marquant chaque intromission d’un « han » toujours plus fort, toujours plus long. Puis je l’ai senti au bord de l’orgasme, elle n’arrêtait pas de sauter. Je n’aurais pas été sur elle, elle aurait décollé ses reins encore plus haut. Chaque fois, je sentais mon gland buter contre son utérus. C’était doux, collant, humide, chaud, caressant … je mis à crier, trois longs jets de sperme que je n’ai pu contrôler. Les corps en sueur, les cheveux en bataille, je restais sur elle, le cœur battant la chamade. Je ne l’avais pas entendu pousser ses petits cris habituels. Je n’avais pas envie de lui demander s’il avait bien joui. En fait, ça ne m’intéressait plus. C’était fini. Je le sentais. Elle m’avait permis de faire l’amour comme on dit adieu à quelqu’un. Je me mis sur le dos, la verge couchée et collante sur mon ventre. Elle ne dit mot. Je l’entendais respirer doucement maintenant. Je m’assis. Je vis couler le sperme entre ses poils noirs. Elle attendit quelques secondes et se leva, la main sur sa toison, pour empêcher que le liquide s’écoule d’elle.
Je la rejoignis dans la salle de bains. Elle prenait une douche. Je me lavais avec un gant de toilettes. Puis une fois dans le salon, je me rhabillai et partis en évitant de claquer la porte. Au revoir « Aurore » me dis-je. Plutôt adieu.
Le froid était sec. Je remontai mon col de blouson et je me mis à marcher. Ma tête était vide ou du moins, j’essayai de savoir ce qui n’avait pas marché entre nous. En trois ans, deux échecs. Pourquoi ? A presque cinquante ans, je commençais à avoir des doutes sur mon physique, mes capacités sexuelles, en un mot mon attirance. Je marchai mécaniquement …
Je traversai la rue Saint Anne. Cela faisait quelques mois que je passais par cette rue sans jeter une attention particulière à ces jeunes éphèbes qui faisaient le trottoir. En fait, j’étais un hétéro et les homos me dégoûtaient. Je me voyais très mal faire l’amour à un homme…
Je rentrai dans un bar. Je demandai un cognac. Il me fallait quelque chose de fort, de chaud, de brûlant. Cela me permettrait de moins penser. J’allumai une Malboro. La fumée me fit tousser. Je remarquai que le bar était peu éclairée. Des couples d’hommes ou de jeunes hommes étaient en train de discuter, penchés l’un vers l’autre, comme s’ils avaient des confidences à se faire et que personne ne devait entendre.
En fait, pensais-je, c’est peut être eux qui sont heureux. Ma pensée se mit à vagabonder à nouveau. Je repensai àdsc05018.jpg ce triangle noir qui m’attirait vers elle. Je ressentai cette longue pénétration dans ce trou noir, mais si accueillant. Je secouai la tête comme pour m’enlever cette idée. Je me surpris à bander. Je dus même décroiser les jambes tant l’érection fut forte. C’est à ce moment-là qu’il est entré. Grand, mince, pantalon blanc immaculé, blouson de cuir noir d’où sortait une tête argenté et gominé. Il vint s’asseoir à côté de moi, mais je lui tournai le dos. Il demanda un Perrier tranche et alluma une cigarette. Je sentis le tabac blond de Virginie. Il parla au barman et j’entendis des bribes « … rien ce soir… aller me coucher … ».
Je me retournai doucement en pivotant sur mon siège. Il était maintenant face à moi, les bras pendant entre ses jambes comme s’il cherchait l’inspiration ou comme pour reprendre son souffle. Il n’avait pas plus de 25 ans. Il leva doucement la tête en soufflant la fumée qui me fit tousser. Il s’excusa. Il n’avait pas vu que j’étais face à lui. Le ton de sa voix était neutre, sans sentiments, sans états d’âme.
Il me sourit. J’en fis autant. Il resta ainsi de longues minutes à discuter. Les minutes passèrent sans qu’aucun mot ne sortit de ma bouche. Il se leva, releva le col de son blouson et sortit. J’en fis autant, sans savoir encore pourquoi. Du moins, si. Seul un homme serait capable de me dire ce que j’étais, dans quel état j’étais. C’était con, mais ma tête n’arrivait pas à me décrocher de cette idée. J’en avais soupé des femmes silencieuses. Mes chaussures ferrées martelaient le sol. Il se retourna une fois mais ne dut pas me reconnaître. La rue était vide. J’accélérai le pas. Il s’arrêta. Comme j’arrivai à sa hauteur, il me salua. Je lui dis que je l’avais vu dans le bar. Il faut dire qu’entre deux lampadaires, on se voyait à peine.
- ah ! oui ! dit-il
Puis il tourna les talons et continua sa marche.
Je le hélai. Il s’arrêta à nouveau. Je ne savais comment aborder la conversation. Il me regardait alors que je bredouillai quelque chose.
- trop vieux ! conclut-il rapidement
Je fus interloqué par sa réponse. Voilà une première analyse à laquelle je ne m’attendais pas. Comme il allait se retourner, je le pris par l’épaule.
- n’insiste pas ! dit-il
Je lui expliquai dans le désordre que c’était la première fois, que je n’étais pas venu pour faire l’amour, mais que j’avais besoin d’un regard de mâle pour me juger, me dire qui j’étais, comment j’étais, ce qui se passait en ce moment pour moi … bref ! à peine, je comprenais moi-même mon discours haché.
Il fit mine de partir, avança de trois pas, se retourna et me dit :
- moi c’est pour la nuit et ça te coûterait un max pour ne pas baiser !
Je lui dis alors, tout aussi précipitamment, que je m’en foutais, que mon intention n’était pas de baiser avec un homme, mais qu’il me juge.101.jpgIl rit à gorge déployée. On ne lui avait jamais fait celle-là, disait-il et comme d’habitude, une fois ensemble, je deviendrais intenable. Nous avions marché jusqu’à devant un magasin illuminé. Il vit mes yeux brillants, presque larmoyants. Il ne soutint pas mon regard. Il dégagea son mégot d’une pichenette qui alla atterrir près d’un taxi en veille. Il leva la tête, me fixa longuement et puis il finit par me faire un signe du doigt comme pour le suivre.
On marcha à travers de petites rues. Je ne savais plus où j’étais. Je vis l’enseigne de l’hôtel.
Il me dit de payer la note avant même qu’on n’entra. Le tenancier était vieux et pas rasé. Je sortis mes billets et je les mis en ordre l’un derrière l’autre sur son comptoir. Mon compagnon avait commencé à monter. Il avait pris, sans un mot du gardien, les clés qui pendaient en évidence derrière le comptoir.
Je le suivis. Je me sentis essoufflé au fur et à mesure que nous grimpions. C’était interminable. Il se planta devant une porte. J’entendis la clé qui décrocha le pène. La porte grinça. La lumière n’était pas fameuse et le l’abat-jour semblait chiasseux. Je fis le tour de la chambre. Elle était propre mais quelconque. La tapisserie un peu vieillote mais pas déchirée. Une armoire des années cinquante plantée au milieu laissait à peine le passage entre le lit et elle. Dans un coin, une table, une chaise et un vieux fauteuil en cuir limé. Une porte à côté du lit. Je tournai la poignée. J’entendis qu’il me disait que c’était la salle de bain. J’allumai. La lueur blanchâtre m’aveugla. Une baignoire-douche où on pouvait s’asseoir à une seule personne. Le rideau était constellé de tâches noires d’humidité. La glace du lavabo laissait voir des traces de tain. Le chiottard semblait propre. Rien à dire, même si ce n’était pas le luxe.
J’entendis un bruit de corps qui s’affaissait dans un grincement de ressorts. J’éteignis la lumière et je me retournai. Il fumait, la tête en l’air, enfoncé dans le fauteuil. Je lui demandai son nom. David pour les intimes me dit-il en souriant. Il me demanda mon prénom.
Nous restâmes silencieux. Je finis par quitter mon blouson. La température était douce. Le radiateur claquait à chaque fois que l’eau bouillante passait dans ses tuyaux.
David tourna la tête vers moi doucement.
- Alors ? me fit-il.
J’étais statufié.
- Tu veux que je te dise qui tu es, si tu plais, comment tu es ? C’est ça ? dit-il
Je fis signe de la tête. Il allait trouver ça bizarre quand même.
- fous-toi à poil ! me dit-il durement
Cette intimation me fit reculer d’un pas. Le son de sa voix avait claqué dans mes oreilles comme un coup de fusil.
Il reprit une bouffée de fumée, l’éjecta précipitamment et me dit :
- ce n’est pas parce que tu m’as donné le prix d’une nuit que je vais attendre comme un con dans ce fauteuil.
Je ne bougeai toujours pas.
- décide-toi, sinon je me pieute et je pionce
- je me déshabille comme ça ? maintenant ?
- c’est toi qui l’a voulu non ? et tu vas payer pour ça. Vous êtes marrant tous, je ne vais pas faire ce que tu m’as demandé quand même.
Je baissai la tête, un peu honteux. Ainsi, pour la première fois, un homme allait me regarder me déshabiller. Il allait me voir nu. Certes j’avais pris des douches au sport, mais ce n’était pas la même chose.
Il se leva, me frôla, ouvrit la fenêtre puis les contre-vents avant d’envoyer son mégot au milieu de la rue. Il ferma d’un claquement sec113.jpg les fermetures et revint, sans me regarder, dans son fauteuil. Il croisa les jambes, s’adossa, mis ses mains croisées sous son menton et me fixa. Je compris le ridicule de la situation, mais il fallait que j’aille jusqu’au bout. Je quittai une à une mes chaussures d’un coup de talon. Comme je n’aimais pas qu’on me vit en chaussettes et en slip – ça me rappelait trop la visite médicale de l’armée -, je rangeai mes chaussettes sur le dossier de la chaise. Mes pieds nus s’enfoncèrent dans la moquette. Je marquai une pause et je le fixai. Il ne dit mot. Ses yeux semblaient fixes. Je déboutonnai ma chemise, pris le temps de retirer doucement chaque manche, puis je la mis également sur le dossier de la chaise. J’étais en tee-shirt à manches courtes. Mes bras blancs poilus, ressortaient dans la mi-pénombre de cette chambre. Je soulevai le bas de mon tee-shirt et le fis passer par dessus ma tête. J’étais le torse nu. Mes gestes étaient lents, sans effet, mais parce que j’étais comme figé.
Il me fit un signe de la tête, du moins c’est ainsi que je l’interprétai comme pour me dire, tu peux continuer. Je défis la bouche de ma ceinture, déboutonnai ma braguette, le pantalon glissa tout seul, sans que je cherche à le retenir. Il était en tuyau de poêle à mes chevilles. Mes longues jambes musclés et poilus paraissaient noires, contrairement à mes bras. La différence devait être saisissante pour un observateur. Je levai une à une mes jambes pour sortir mes pieds de mon pantalon. Je pliai avec soin celui-ci et il alla rejoindre les autres vêtements. David continuait de m’observer. Il semblait regarder mon torse et mon ventre poilus. Ce dernier avait quelques poignées d’amour, mais je m’entretenais régulièrement pour ne pas être bedonnant. A cet âge, les muscles se relâchent facilement.
J’étais en slip. Le blanc se détachait du reste du corps.
- tourne-toi ! me dit-il enfin
J’exécutai son ordre. Je me mis face à la glace, près de la fenêtre. Je me vis, seul, les bras ballants, ne sachant que faire de mes mains. Je m’observais. Mon ventre cachait en partie la ceinture de mon slip. Je me trouvais soudain vieux, affreux.
- enlève ! me dit-il brutalement
Je compris ce qu’il fallait que je fasse. Je m’exécutai précipitamment.
J’étais nu. Je sentis comme un souffle léger sur tout mon corps, comme si du vent léger soufflait dans cette pièce. Je serrai les fesses, comme si je voulais cacher ma nudité.
- retourne-toi lentement
Je mis un temps avant de comprendre ce nouvel ordre. Je pivotai sur mes talons.
Un silence de mort régnait. David regardait maintenant mes jambes et son regard se posa sur mon sexe qui pendait entre mes jambes lamentablement. La toison de mon pubis cachait une partie de ma verge. Le poil était noir, frisé. Mon gland semblait énorme par rapport à la largeur du membre. Il était apparent. Il avait toujours été apparent.
- tu as été circoncis ? me demanda-t-il ?
- non pourquoi ?
- pour rien. Avance.
Je m’avançais de deux pas.
- encore !
Je stoppai à quelques centimètres de lui. Je sentis la toile de son pantalon sur mes tibias. Ses yeux étaient juste à hauteur de mon sexe.
Il tendit la main et la posa sous mes testicules.
- tu as de belles couilles ! me dit-il
Je crois que je rougis. Je sentai sa main chaude et caressante. Il souleva ma queue de deux doigts, de la même manière qu’il tenait sa cigarette.
- elle est grosse et belle ! dit-il en la faisant sauter dans sa main comme pour la soupeser
Il la lâcha. Il y eut un petit bruit de chair quand elle vint frapper mes bourses.
- et elle est épaisse
- épaisse ?
- oui, épaisse.
Il me fit tourner en me prenant le bras. Je restai toujours aussi droit, tendu. Il me caressa les fesses. Je sentis ses doigts effleurer doucement mes poils. J’eus la chair de poule. Il caressa la raie entre mes fesses d’un doigt. Mes poils étaient humides. Un instant, je sentis son ongle chercher mon anus. J’avançai.
- tu as peur ?
- non, mais je suis mal à l’aise.
- Mal à l’aise ?
- Oui !
Il me fit reculer d’un pas et recommença. Je sentis qu’il avait trouvé l’entrée et son ongle pénétra doucement mon anus.
- tu aimes ?
- sans plus !
Il se retira. Il me demanda à nouveau de me retourner et de faire quelques pas en arrière. Il resta ainsi durant de longues minutes, finit par allumer une nouvelle cigarette.
- t’es pas mal !
- merci !
- Pour un mec de ton âge, tu es bien conservé.
- J’ai fait du sport ! me surpris-je à dire, comme si je voulais d’un coup me justifier.121.jpg
- Ça se voit. T’as pas trop de bide, même s’il faut que tu fasses gaffe.
Je me sentis soulagé.
- alors les femmes n’aiment pas ton corps ?
- c’est pas ça, c’est …
- c’est quoi alors ?
Il était difficile de lui expliquer que les échecs répétés me donner des doutes sur ce qui n’allait pas vraiment. J’avais pris mon corps en grippe, pensant qu’il ne plaisait plus.
- Avance !
J’avançais à nouveau jusqu’à le toucher. Il me reprit la verge à nouveau.
- bande ! dit-il
- quoi ?
- tu peux pas ? tu veux que je te donne du viagra ! dit-il en riant
Je me sentis vexé. Je fermai les yeux comme pour me concentrer. Je sentis sa main m’enserrer le membre. Mes yeux fermés, je pensai à Aurore du temps où nous étions bien ensemble. Je pensai à cette main, la sienne. L’érection se fit doucement. Je sentais au fur et à mesure que sa main se relâchait comme pour laisser le membre s’étendre.
- pas mal, bel engin ! conclut-il
Je ne voulais pas ouvrir les yeux. Je voulais croire qu’Aurore me faisait bander. Il m’attira un peu à lui. Je faillis tomber.
- laisse-toi aller ! dit-il
Je creusai les reins pour mieux m’offrir à elle, enfin à lui … Je sentis deux lèvres se poser sur mon gland et une main qui caressait mes fesses. C’était bon, délicieux, chaud, humide. Je repensai à ce vagin que j’avais pénétré, toujours avec plaisir, humide. J’entendis les succions de plus en plus rapides. La main pesait mes couilles, les trituraient, les caressaient, mais aucune brutalité. Mon membre était happé en cadence entre ses lèvres humides. Je sentis à plusieurs reprises le fond de sa gorge. L’autre main finit par trouver mon anus. Il avait dû mouiller son doigt car il entra sans résistance. Je me surpris à donner un coup de rein quand il me pénétra complètement.
- c’est bon ? me demanda-t-il
- ouiiiii
J’entendis à nouveau le succion. Le plaisir commençait à monter, mais je me sentis incapable de l’arrêter.
- alors comme ça, tu n’as jamais fait l’amour à un mec
Je ne répondis pas.
- tu as de la chance de ne pas être mal foutu, car je ne baise pas avec des mecs de ton âge. J’aime pas les vieux. Il pue. Pas de sueur, mais par leur obscénité. Ils ont toujours de vieux rêves cochons qu’ils n’ont pas pu réaliser avec leur bourgeoise et encore quand il la baise.
Le discours devint obscène. Habituellement, je n’aurais pas aimé, mais la situation dans laquelle j’étais, cela m’excitait un peu plus.
- dégorge pas dans ma bouche ! interdit ! tu me diras quand ça viendra !
Comme je ne répondais pas il répéta l’interdiction.
Je fis signe que oui de la tête. Je sentis un deuxième doigt me pénétrer et un troisième en préparation. Ca me brûlait, mais je ne voulais pas que le jeu s’arrêtât ainsi.
A nouveau le succion, le fond de sa gorge, la chaleur de sa langue sur mon gland.
Il me reprit le membre à pleines mains.
- ah ça vient ! dit-il.
Il passa un doigt sur le liquide gras qui commençait sous l’excitation à sortir du méat. Il l’étala d’un doigt caressant sur ce dernier, puis au pourtour.
- eh bien ! tu es vraiment excité ! qu’est-ce que ça coule !
Je ne voulais toujours pas ouvrir les yeux.
- je parie que tu voudrais bien me baiser, non ?
Je ne répondis pas.
- non ?
Je fis signe que oui de la tête, puis non, puis oui à nouveau. En fait, je ne savais pas où tout cela allait m’amener. J’étais bien, mais je ne voulais pas ouvrir les yeux, comme si j’avais peur de voir ce que je faisais, ce qu’il me faisait.
Sa main m’enserra et je sentis la peau de mon membre allait venir sous ses va-et-vient pendant que le bout de sa langue excitait mon méat.
Je ne sentais plus ses doigts enfoncer en moi, du moins si, mais ça m’excitait l’anus. Une nouvelle sensation forte pour moi.
- prends-moi ! lui dis-je
Je ne compris pas qui avait parlé. Il me semblait que ça ne pouvait pas être moi. Pas possible.
- je suis passif ! pas de pot ! j’aime pas prendre un mec, ça me ferait vomir.
- Prends-moi ! implorai-je.
Il me lâcha soudain. Je n’ouvris pas les yeux. Il me fit coucher à plat ventre sur le lit. J’entendis ensuite la porte claquer, des pas, des discussions. Il revint.
- ça va ? me demanda-t-il
- oui !
14.jpgJe sentis qu’il m’ouvrait les fesses. Il passa un liquide froid sur l’anus. Puis quelque chose me pénétra. Etait-ce lui ? Ca me semblait rigide et froid.
- c’est quoi ?
- un gode !
- Un quoi ?
- Un gode ! t’aime pas ?
- Mais je préfèrerai …
- Pas question, mais tu verras, la sensation est la même.
Il prit tout son temps. Je sentais, au fur et à mesure qu’il poussait, l’engin me pénétrer. Il semblait d’une taille moyenne car après de longues minutes, où il fit attention à ne pas me faire mal, je le sentis complètement en moi. Puis des vibrations de haut en bas.
- c’est bon ?
- surprenant, mais bon oui !
Il me fit retourner, le gode toujours planté en moi. Il me fit mettre les genoux repliés et je sentis sa tête sur mon sexe. D’une main, il enfonçait et retirait doucement le gode et de sa bouche, il me suçait. Ses cheveux gominés, me grattaient le ventre. Cela dura un certain temps. Quand je sentis que le plaisir était imminent, je lui pris la tête. Il comprit. Il attendit l’ultime moment et se retira. J’hurlai d’autant plus de plaisir, qu’à chaque éjaculation, mes reins se soulevaient et le gode s’enfonçait toujours plus profondément. Je jouis plusieurs fois.
- eh bien mon salaud pour un vieux c’est pas mal.
Quand enfin j’ouvris les yeux, je vis le sperme couler sur son visage. Il avait fermé les lèvres comme pour éviter que la moindre goutte lui pénétra la bouche. De l’autre, il tenait le gode. Je ne l’avais même pas senti sortir. Il avait de la matière fécale dessus et j’en eus honte.
David se leva et alla dans la salle de bains. Je l’entendis cracher. L’eau coulait du robinet qui faisait entendre un sifflement aigu. Quand il ressortit, il était nu. Il rangea le gode sur la table.
Il se planta devant moi. Son sexe pendait entre ses jambes. Ses poils étaient blonds. Il n’était pas poilu sur le torse. Une ank’h en or pendait à son cou. Il avait un torse bien dessiné. Il faisait comme tous ces éphèbes, du culturisme. Il était d’un blanc laiteux.
- tu aimes ?
- quoi ?
- mon corps pardi !
- oui !
Il se pencha sur moi et se releva, retourna aux toilettes et m’essuya le ventre avec du papier. Puis il se coucha entre mes jambes, sa tête sur mon plexus.
Je ne bougeais plus. J’en aurais été incapable.
- t’as du pot, car j’ai pas l’habitude de coucher avec des mecs de ton âge
- pourquoi alors ?
- me pose pas de questions ! j’en sais rien, mais je sais que j’ai envie.
Je lui caressai alors les cheveux de mes doigts comme avec un peigne.
- Continue ! dit-il, ça me détend.
Le temps passa ainsi sans que nous bougeâmes. Puis lentement, il remonta sur moi, lèvres contre lèvres, torse contre torse, ventre contre ventre, sexe contre sexe. Je sentis le sien qui durcissait. Le mien en fit autant. Ce qui suivit, je serais incapable de le décrire, mais c’était bon, chaleureux, puissant, long, caressant.
Un instant il me demanda de lui donner la main. Je lui tendis. Il croisa les doigts entre les miens et il me serra fort. Je sentis sur ma paume quelque chose qui craquelait. Je compris qu’il voulait que je lui fasse l’amour, le préservatif m’attendait. Je répondis à son serrement de main. Il comprit que j’étais d’accord. Sans un mot, il se pencha sur mon sexe, l’embrassa pour le faire durcir entre ses lèvres. J’entendis l’enveloppe se déchirer. Il mit de la salive sur mon gland et je sentis l’odeur caractéristique du condom et la pression qu’il exerça sur mon membre. Sans un mot, il se coucha sur le ventre, me fit signe de venir sur lui. Il m’enserra alors de ses deux bras autour de mes épaules, passa ses jambes autour de mon ventre et de mon dos. Il ne me fut pas difficile de voir l’entrée. Je vis que l’anus était brillant de gel. Mon sexe pénétra dans l’orifice si souvent occupé par d’autres. Quand je le pénétrai, il fit entendre un petit couinement. Ses mains serrèrent mes clavicules. Le va-et-vient le faisait miauler comme un chat. Plus l’excitation montait, plus il me fixait de ses yeux bleus avec un regard défiant, presque méchant. A deux ou trois reprises, il m’invita à aller plus vite, plus fort, plus profond. La jouissance me surprit rapidement. Elle fut presque en phase avec son éjaculation car sa main avait quitté son épaule et il s’était masturbé longuement. Les jets atteignirent son menton, son torse, les draps, mes épaules. Ils étaient blancs et translucides à la fois, comme du blanc d’œuf. Durant toutes ses éjaculations, il me défiait du regard en serrant les dents. Il m’interdit de sortir de lui et nous restâmes ainsi accrochés l’un à l’autre. Mon sexe sortit tout seul en rapetissant et sous l’effet du gel qui le fit glisser. Je me sentis ridicule de le voir ainsi. Le préservatif était toujours là, lui aussi maculé, avec le réservoir qui pendait sous l’effet du poids de mon sperme. Je le fis glisser, le noua et je pris le chemin des toilettes. Je pris mon temps, me doucha plusieurs fois sous les jets brûlants. Le robinet cognait et émettait toujours un sifflement strident. Je n’entendis pas ce qui se passait autour de moi. Je m’essuyai, nouai la serviette autour de ma taille et entra dans la chambre.
La lumière était éteinte. Il devait dormir. Je tâtai les murs et quand je finis par trouver l’interrupteur, j’allumai. La pièce était vide. David n’était plus là. Sur la table soudain je vis mon portefeuille ouvert. Je me précipitai. Il m’avait piqué tout mon pognon.
J’ouvris la partie billets. Il en restait. Je les comptai. C’est alors que je vis un petit bout de papier bleu écrit maladroitement et plein de fautes d’orthographe.
- connard ! tu as eu de la chanse que je te pique pas ton frique. J’ai pri ce que tu me dever, car tu ma fait l’amour bien. En +, tu ma fait changé d’avis sur les vieux.

David.

Je m’assis sur le bord du lit. Je mis à chialer. Tous ces évènements m’avaient bouleversé, mais une chose était sûr, j’avais oublié Aurore.


Par GAYA
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Dimanche 29 juin 7 29 /06 /Juin 14:17

Si tu viens pour la première fois sur mon blog, alors prend le temps de naviguer dessus et de découvrir les pages qui le composent. Ce blog est un blog de mec pour les mecs! Une surface d'échange... un espace ou je partage mes découvertes sur le net... bsx et bonne visite...

 

 

 

 


 

Par GAYA
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Vendredi 27 juin 5 27 /06 /Juin 23:40
INCROYABLE MAIS VRAI !
Le genre de truc que quand tu le vois tu perds la parole
Ca doit être difficile d'avoir un truc pareil. Que ce soit pour se deplacer comme pour baiser, c'est un galère. J'imagine aussi que vu l'engin et la quantité de sang nécessaire pour son érection, il doit avoir une chute de tension dès qu'il et au garde à vous! Si c'est l'habitude des mecs de focaliser ou de compléxer sur la taille de leurs sexes, et bein je comprends que lui aussi dois être géné d'avoir à se déshabiller devant quelqu'un. Si vous vous demandez pourquoi alors regardez cette petite vidéo. C'est court! 26 secondes! mais suffisant pour apprécier la longueur du truc... de quoi faire palir un âne!

 






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Par GAYA
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